Retour sur le Temps Fort CONTEXTE 2019
Retour sur le Temps Fort CONTEXTE 2019

Retour sur le Temps Fort CONTEXTE 2019

Retour sur le temps fort CONTEXTE mars 2019

Juin 2018 l’équipe souhaite changer la date de son temps fort, pourquoi pas novembre 2018.

Octobre 2018 est envisagé un multi événement rassemblement des multiples démarche de La Voix Sociale : secteur édition, valorisation d’artistes, sauvetage d’œuvres (Le fauteuil du député de la Rue sauvé de la déchetterie en 2016), un concert écholocalise.fr, visite acoustique dans des lieux importants etc.

Devant des contraintes trop fortes à la Hall Martenot, l’événement est repensé sur toute la ville. Faisant intervenir tous les acteurs existants qui pourront être enrichie de notre démarche. Une nouvelle date est posée, tout le mois de mars 2019. C’est partie pour cette folle aventure.

Emission l’Inattendue du 27 février sur C-LAB annonce les couleurs de CONTEXTE

Nous commençons l’émission avec Contexte, un événement qui fait la part belle à l’art, la musique et la culture qui aura lieu du 1er au 31 mars dans différents lieux emblématiques de Rennes.

 

Un rendez-vous expérimental incroyable de divergences et de cultures.  Dans la piscine comme dans la rue, les approches se côtoient sans filtre pour une proposition à renouveler !

Le fauteuil du député de la rue le 6 et 9 mars

Fabriquée en bois de palettes par l’artiste internationale  Guillaume KRICK en 2004.

En 2014, pour cause du déménagement pesant déjà de plusieurs tonnes de l’œuvre de l’artiste de Nantes vers le Nord de la France, différentes œuvres n’auront pas pu faire partie du voyage, c’est comme ça la présidente de La Voix Sociale & éditions, sauve de la déchetterie ce fauteuil au combien symbolique à l’heure des mouvements sociaux.

 

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Sur deux jours le 6 et 9 mars : des personnes qui s’arrête pour discuter, parler, s’exprimer de sujets divers qui les touchent. Un moment d’émotion et de fraternité.

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Plusieurs femmes ont partagé le sentiment de se retrouver dans ces mots et histoires illustrées, l’impression qu’elles auraient pu écrire ces textes proches de leur vécu. Certaines ont été très émues, voire étonnées d’être si émues puisque ne vivant plus ces violences dans le quotidien. Expérience qui a ouvert la discussion suivante se rappeler pour peut-être ne pas revivre ces situations « . La légèreté de l’atmosphère apporte une forme d’élégance et redonne une dignité à ces femmes dont l’image est souvent dégradée, réduite à « être la victime de ».

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C’est aussi, un peu, le nouveau bureau des plaintes sociales, un outil très utile à la démocratie.